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Sur relation entre renommée et troubles mentaux il y a aussi une autre supposition. Dans l’ensemble des personnes « notoires », une grande quantité sont dits professionels. C’est le cas par exemple de l’artiste Stromae, de l’écrivain Michel Houellebecq, ou du carrier Jean-Paul Gautier. Il est véritable que l’imagination est souvent combinée aux troubles mentaux, lien illustré notamment dans les biographies de plasticiens illustres : Honoré de Balzac et Virginia Woolf ont vraisemblablement présenté une psychose maniaco-dépressive ( pandémie nommée aujourd’hui trouble bipolaire ), John Nash, modèle géomètre était atteint de schizophrénie, paul Verlaine était alcoolique, Antonin Artaud souffrait d’hallucinations, Vincent Van Gogh aurait supporté d’accès psychotiques, etc.
les différents très jeunes rêvent-ils de réputation ? Beaucoup, quoiqu’il en soit, conformément le psychiatre et psy J. -D. Nasio, réalisateur de Mon corps et ses peintures ( Payot, 2007 ) : « Ce désir se manifeste plus aisément chez eux, car il est fréquemment entretenu par la quête d’identité. Le jeune nécessite de la reconnaissance des autres pour savoir qui , alors que les gens mûres n’ont nul besoin d’être connues pour se sentir précieux. » La véritable question qui demeure est celle du passage à l’acte. « Je ne suis jamais assemblé sur chaire, mais je suis devenu un sociologue apprécié, qui continue à désirer la notoriété, avoue François de Singly. Il y a donc eu un déplacement. Rêver de popularité à 15 ans, c’est peut-être avoir des éventualités d’être reconnu, peut être dans un autre domaine, à 40 ans… »
Dans Hello Magazine, en 2008, Jennifer Aniston présentait normal « de être suffisant de temps en temps auprès d’un psy pour être en convalescence les pensées en place. » Mais elle se reprenait directement en traitant d’elle à la troisième personne : « N’écrivez surtout pas que Jennifer Aniston est absurde ! » comme tout signe de faillibilité, se le dire un attendrissement mental, ponctuel ou souvenirs, voire une addiction, entache quasi finalement une « bankabilité » et un important confiance auprès des meublé hollywoodiens. Pour preuve, la escalade abominable vécue par Downey Jr à la fin des années quatre vingt dix et largement relayée par les médias. Cinq années de toxique, d’arrestations, d’emprisonnements, de cures et de rechutes à reprise ont insolvable envoyer la carrière d’Iron Man dans les abysses de Hollywood. C’est à son copain Mel Gibson, lui-même commun des excès alcoolisés, que la de Sherlock Holmes doit son salut professionnel. Gibson aura été le premier paysan, en l’an 2003, à admettre d’assurer Downey pour son rôle dans The Singing Detective.
Et si d’aventure la rédaction de la première projection est fragile, la démesure de ce qui est suspendu peut être inévitable. S’y repérer est faire panachage avec Dieu. Et la souffrance suprême surgit alors que retoucher terre, à l’instant de la déception qui conduit l’être à ne éclater que comme un dépôt. Il réalise que le mirroir de l’univers est un leurre, et que l’image qui s’est réalisée par le regard de l’autre-monde est un fantasme européen, une caprice. Alors, comme un cinglé se dessaisit de son fantasme, il chute de son principe sélénite et noyer dans une forme foncé de fin du monde. Celui qui tient l’univers n’est plus, et tout s’effondre avec lui.
Ça fait quoi d’être une ? «Un dommage fou», répliquait Brigitte Bardot en 1962 dans «Vie Privée». Ophélie Winter pourrait aujourd’hui capturer le but. Depuis 8 semaines, les de la descente aux enfers de la chanteuse des années quatre-vingt-dix font la une de la presse guests. Sans domicile, criblée de crédits, la gloire erre dans les rues parisiennes, écumeux les chambres d’hôtel de la plus grande ville. Comment une chanteuse florissant a-t-elle pu se retrouver dans cette situation en à peine de nombreuses années ? Contactée en direct dans l’émission de Cyril Hanouna, l’interprète de «Dieu m’a donné la foi» a révélé quelques charge : «C’est pas l’éclate, mais tout est de ma infraction. Quand tu te fais escroquer ou quoi que ce soit, le premier dénominateur commun, c’est toi».
La question est rigoureuse : pourquoi les personnes s’intéressent-ils aux stars ? Il doit me relâcher le gène qui rend enclin à voir des radiodiffusion télés et acquérir des revue site visitors ou à vaciller ce qui est en train de se passer entre Brad et Angelina, puisque je ne l’ai compris. Non, les stars ne m’intéressent pas vraiment; en revanche, j’aimerais réellement savoir pourquoi elles passionnent tant les gens. Petit tour d’horizon des hypothèses les plus intéressantes.
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